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La vie normale ...

24 juin 2015

Les soldes

Les soldes
Brève de mode : les soldes ! Il y a Marc Jacobs, Sessùn... Mais il y a aussi See u soon, Suncoo, Karl Marc John... Belles coupes, belles couleurs, du style. Ces petites marques ont tout d'une grande ! C'est à côté, aux Terrasses (du port), au Printemps...
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15 juillet 2015

Roxy Run – 5 Kms

Nom de la course : Roxy Run – 5 Kms

 

Dates

Club

Niveau de difficulté *

Conditions

Difficultés particulières

Cadeau

Plan d’entraine-

ment

21 juin

non

**

Température très chaude

Aucune

1 casquette

Faire des petites distances à fond

Route

 

1 sac

Mauvais trottoirs

Zone de course trop étroite

 

* fastoche / ** moyen/ ***difficile/****insupportable

Ravitos : Non (ni même à l'arrivée !)

Mes impressions :

Une course mal préparée : départ différé à plusieurs reprises, zone de course trop étroite avec encombrements de coureuses, bousculades et risques de chute. Affichage des distances super design mais peu visible.

Conseils (le ptit plus)  :

Les courses sur 5 kms sont très rapides, il faut « envoyer » dès le départ et c’est un exercice auquel il faut se préparer.

Pas forcement une course à faire sauf si on est sûre d’arriver dans les 3 premières au scratch (sponsoring et lot de 300 € de fringues roxy).

Je me sens d’écrire un petit article sur la course – le parcours (ou autre) pour les copines :

Le petit plus c’est de prévoir son maillot et faire un petit plouf dans la foulée. Bon moment de détente assuré. Le village roxy était assez sympa mais sera-t-il renouvelé ?

CL

15 juillet 2015

MUD DAY à Peyrolles

Nom de la course : MUD DAY AIX, 13 kilomètres et 22 obstacles

 

Dates

Club

Niveau de difficulté *

Conditions

Difficultés particulières

Cadeau

Plan d’entraine-

ment

11 avril

Non

**/***

Température de l’eau très froide

Beaucoup d’obstacles et de l’électricité

1 tshirt noir

Je vais

Y penser

     Chemin

  Beacoup de boue

   1 gobelet bière

Obstacles

Des glaçons sur la fin !

 

* fastoche / ** moyen/ ***difficile/****insupportable

 

Ravitos : trois

Mes impressions :

Au départ les participants sont « chauffés «  par un mud guy ambiance « training camp » de rigueur, avis aux amateurs.

C’est une course qui mérite d’être pratiquée en équipe mixte (sinon on ne passe pas). Ambiance sympathique mais pas mal d’attente pour chaque obstacle. Il ne faut pas y aller dans l’esprit d’une course nature avec des obstacles mais plutôt dans le cadre d’une petite aventure en équipe.

Conseils (le ptit plus)  :

Prévoir des vêtements bien collants (quand ils sont mouillés ça pése moins), bien attacher ses chaussures pour ne pas les perdre dans la boue. Souffler dans l’eau quand on y est tout entier afin d’éviter les réactions de stress liées au froid.

 

Je me sens d’écrire un petit article sur la course – le parcours (ou autre) pour les copines :

Ce serait super de pouvoir le faire entre filles mais c’est pas possible : certains obstacles sont bien trop hauts donc prévoir des hommes à disposition.

Une épreuve sympa mais tout de même assez chère et pas très zen...

 

CL

 

24 juin 2015

Victimes de la mode et des circonstances …

 

Des photos dans les magazines, inaccessibles au monde des mortels…  Des mannequins fantômes dont on ne connait pas les noms …Des vêtements aux prix exorbitants et aux formes improbables…

Mais qui peut bien porter ces œuvres d’art ? (pardon je ne vois pas d’autre appellation possible)   Quelle femme dénutrie ?  (Pardon de nouveau…) Quelle travailleuse osera s’attifer de ces étoffes avant-gardistes  pour se rendre au boulot, pire à la sortie de l’école ? Et vous que je croise dans la rue par hasard pendant mon jogging, coiffées de vos chapeaux tout droit sortis de la page 38 de Marie-Claire, ou allez-vous donc ainsi ? Dans quel univers vivez-vous ? Dans quelle sphère, les femmes mettent-elle des capelines ou des chapeaux melon pour faire les boutiques ?   Je souffre d’un décalage spatio-temporel, non pas d’un jetlag comme l’expression à  la mode pour arythmie circadienne, mais je me dis comment ces chapeaux ont-ils atterris sur vos têtes ? Etes-vous des nées-coiffées ? Dans la vie normale, celle des humains et donc par extension celle avec des chariots carrefour, des embouteillages,  de la pollution et où l’humain répond tout simplement aux besoins primaires, où mettez-vous donc  vos chapeaux ? Dans le métro, les transports en commun, les pipi-room ? Et je me dis trop de mode –tue la mode ! Que faire de l’initiative individuelle ou pire du bon sens ?


Ces magazines  sont des voiles que l’on fait porter aux femmes si elles n’arrivent pas à se libérer de  leur influence, un corps parfait (photoshopé)?  Et une tête bien pleine qui y pense ? Qui s’intéresse à la vie des humains « normaux ». Pourquoi leur parcours n’est-il pas valorisé ? Une mère qui élève des enfants  avec  en plus l’initiative d’une entreprise ne vaut-elle pas une première de «  couv », autant que celle qui joue dans un film hollywoodien ? N’y a-t-il pas de gloire pour les gens ordinaires et qui mènent à bien des projets et une vie bien remplie ? Il faut rectifier le tir et revenir à la réalité, fini les turlututu chapeaux pointus, passons aux choses sérieuses (et ordinaires), la vie normale quoi !

24 juin 2015

Pourquoi et comment quitter sa voiture pour son vélo ?

Pourquoi et comment quitter sa voiture pour son vélo ?

Les raisons, on les voit assez bien : - Entretenir sa forme en faisant du sport au quotidien, - Eviter de polluer notre planète et notre vie, - Avoir l’air dans le mouve : bobo ou hipster, ça dépend…


Et au-delà de ces trois bonnes raisons ?

Il y en a des tonnes : se déplacer sans bruit, être à la portée des gens autour, se sentir LIBRE (je vais où je veux, je m’arrête où je veux, je suis libre de toute contrainte mécanique, électronique etc…..), faire des économies, sentir le froid, le chaud, le vent, la pluie : VIVRE au contact des éléments (et même si c’est un petit trajet). C’est un mode de déplacement qui induit ensuite un mode de vie, et c’est chouette !

Alors pourquoi nous ne le faisons pas ?

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On habite loin, les trajets sont trop longs, il faut emmener les enfants à l’école et aux activités du mercredi, faire les courses et puis il fait chaud ou froid ou il y a du vent………plein de raisons pour ne pas le faire. Mais sans tout changer, n’est-il pas possible de laisser sa voiture à l’école et continuer le trajet sur son vélo pliable ? Essayer un vélo électrique pour pédaler plus loin sans effort ? Rajouter un porte bagage enfant pour emmener le petit dernier ? Laisser son vélo dans le parking du bureau et profiter de la pause déjeuner pour filer, pédaler, profiter, aller chez le kiné, le libraire, la petite boutique sympa dans la rue piétonne……plein de manières de s’initier à un mode de déplacement serein et prendre du champs vis-à-vis de cette bagnole dont on se sent esclave.

Alors, finalement, comment fait-on ?

On y réfléchit vraiment, et on essaie d’un peu changer ?

Quelques adresses qui peuvent aider : http://www.velosenville.org/ http://www.veloland-marseille.fr/

LC

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23 juin 2015

Je fais mes courses à la Marseillaise des femmes

                     

course

 

 

                Je fais mes courses… (et j’aime ça…)

                                               (Blog de course … à pieds pour les femmes)

 

         
   
   

Fiche  course

   
   

                                               

 

Nom de la course :  Les 5,4 km de la Marseillaise des Femmes

 

Dates

Club

Niveau de difficulté *

Conditions

Difficultés particulières

Cadeau

Plan d’entraine-

ment

14/06

CD 13

** moyen

Chaleur

 

Tshirt

non

Plat ou faux plat montant

Courte distance

Savon

 

 

A vitesse max

Porte-clé

 

* fastoche-** moyen- ***difficile- ****insupportable

 

Ravitos : oui un

Mes impressions : course difficile car on est dans le rouge d ès le départ et il faut tenir la distance 5.4 km … (ça peut être long…à fond…)

Conseils (le p’tit plus)  : s’entrainer à courir en fractionné – éviter de partir le pied au plancher- partir dans les 1ères (éviter la foule et éviter que l’on nous rattrape…) S’hydrater avant (difficile pendant la course car ça va très vite…)

Bien s’échauffer avant la course (effort physique important et court)

Eviter de faire une grosse course la veille au soir (certaines se reconnaitront …)

Le petit mot pour les copines :

 

      
   
   

Aller à fond c’est marrant mais c’est fatiguant … courir à 2 peut être stimulant, si on connait un peu son binôme car c’es difficile d’accélérer, de se mettre le feu, seule …(en ce qui me concerne,  j’ai  tendance à m’économiser pour tenir pendant les courses, c’est difficile pour un coureur débutant de se     gérer…. Là aussi il faut apprendre à se connaître…)

   
   

 Possibilité de se baigner : maillot/serviettes

 Possibilité de se baigner => maillot/serviette (arrivée près de la plage…)

 

5 juin 2015

La coure Martigues/Carro

4 mars 2015

Je compose, tu décomposes, on recompose.....

10% des familles aujourd'hui sont recomposées et un quart des enfants en famille ne vit pas avec ses deux parents.

Ah bon ? Ce n'est finalement pas si commun alors ? En tout cas beaucoup moins fréquent qu'une femme dirigeant d'entreprise (18%) ou parlementaire (24%)*. Et pourtant ça semble d'un banal ennui. Ce sont les médias qui déforment la réalité ou nous même qui sommes rassurés par ce lieu commun ? Les deux sûrement....

Pour ma part,  ça ne m'a jamais vraiment rassurée, j'ai toujours pensé que ce n'était vraiment pas banal. Sûrement en raison de mon côté  un peu réac en tout cas ringarde. Aussi, tout en étant l'initiatrice du cataclysme, j'ai vécu mon divorce comme un échec violent, un terrible deuil.

Vu de l'extérieur pourtant, nous avons parfaitement bien réussie notre séparation. Les enfants semblent toujours les mêmes, équilibrés, confiants, à l'aise avec l'alternance, une semaine chez maman, une semaine chez papa et chez eux, c'est où ?  Oui, de l'extérieur c'est une mésaventure qui se termine bien. Mais à l'intérieur c'est resté longtemps Beyrouth sous les bombes, en silence. Chut ! Pas la peine d'en parler !

 

 Et puis la vie se charge de nous rendre la légèreté qui nous manquait. C'est la rencontre qui nous donne à nouveau confiance, nous pousse à recommencer. Loin des clichés de la famille recomposée unie et solide, on avance gauchement, inquiet, avec la peur d'encore rater. C'est pas si banal de vivre avec un Parent qui n'est pas le sien, des enfants, des frères, des sœurs issues d'une autre famille. Non, tout ça est extrêmement complexe, nécessite du temps, de l'empathie, une ouverture de tous et de chacun. C'est une aventure périlleuse. On s'y lance avec déjà de nombreuses valises, des petits êtres à protéger. Quand ça fonctionne, on est heureux, rassuré mais on ne refait pas sa vie, on la poursuit et on n'oublie sûrement jamais ce que l'on a laissé.

 

 L.C

 

*c'est l'Insee qui le dit.

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